Galerie Idan Wizen - Art et Photographie ยปยป Collection ยปยป Page 3

ร‰tiquetteย : Collection

CREATURE | METAMORPHOSE par Mathilde Oscar

Mรฉtamorphoses

Mรฉtamorphoses

par Mathilde Oscar

"Fusionner avec les รฉlรฉments"

Quelques mots sur Mรฉtamorphoses

Mร‰TAMORPHOSES

Embrassant sa propre folie dรฉvastatrice, l’humanitรฉ a souillรฉ sa terre, altรฉrรฉ son habitat, et terni son essence. Enfermรฉe, confinรฉe dans son propre marasme, elle cherche dรฉsespรฉrรฉment un moyen de se libรฉrer. Dans ce rรฉcit, les super-hรฉros de demain รฉmergeront de ceux qui auront le courage de se mรฉtamorphoser.

Au cล“ur de son entรชtement et de sa solitude, l’humanitรฉ reconnaรฎtra ses erreurs, amorรงant ainsi une transformation. Comme une fontaine de jouvence, la nature rรฉgรฉnรฉrera tout son รชtre, et dans son cocon, son รขme extraira l’essence de toutes choses. Elle se fondra dans la matrice, et hors de sa chrysalide, elle renaรฎtra dans son vรฉritable รฉlรฉment.

 

ร€ travers cette sรฉrie, Mathilde Oscar dรฉlivre un message d’harmonie avec la nature. Quatre รฉlรฉments (reprรฉsentรฉ par 4 noms de dรฉesses associรฉes) symbolisent cette vision allรฉgorique oรน la terre et la mer sont tour ร  tour polluรฉes, des incendies dรฉvastent la faune et la flore, et l’air devient toxique, rendant la respiration impossible.

Au sein de ce monde dystopique, l’Humanitรฉ se retrouve isolรฉe dans une cage, un symbole poignant de son enfermement et de son individualisme. Le masque, quant ร  lui, incarne le hรฉros qui sommeille en chacun de nous, prรชt ร  se mรฉtamorphoser pour fusionner avec notre nature intrinsรจque.

L’appel rรฉsonne clair : changez le monde et devenez le cinquiรจme รฉlรฉment, celui qui transcende les limites imposรฉes par l’isolement. Seul le partage et l’empathie pourront briser cette cage de l’individualisme, rรฉtablissant ainsi une harmonie perdue avec notre environnement et notre propre essence.

HESTIA WALK | METAMORPHOSES par Mathilde Oscar

Mร‰TAMORPHOSES

2020 โ€“ Tirage sur papier fine art – Edition de 15 exemplaires

Cafarnaum odalisque by Mathilde Oscar

Dystopia

Dystopia

par Mathilde Oscar

"L'entrelacement avec la nature"

Quelques mots sur Dystopia

DYSTOPIA

Dystopia cรฉlรจbre la nature et ses insectes tout en รฉclairant leur destin sur notre planรจte. Dans une รจre oรน les abeilles disparaissent sous le poids des actions humaines, combien de temps l’humanitรฉ prรฉvaudra-t-elle ? Les insectes, plus nombreux et organisรฉs, possรจdent une biomasse totale 300 fois supรฉrieure ร  celle des humains. Leur petitesse suscite pourtant une grande crainte.

Et si une coexistence harmonieuse รฉtait possible ? Ou, ร  l’inverse, les insectes prendraient-ils le dessus sur l’humanitรฉ ? Mathilde Oscar explore ces scรฉnarios dans “Dystopia”, dรฉpeignant un futur post-apocalyptique teintรฉ de rococo ร  travers des images oรน beautรฉ et rรฉpugnance s’entremรชlent. En approfondissant le regard, la beautรฉ rรฉvรจle son cรดtรฉ รฉphรฉmรจre, entachรฉe par les piqรปres et les imperfections.

Cet รฉtonnant mรฉlange provoque un sentiment paradoxal chez les spectateurs : admiration ou dรฉrangement ? Peut-รชtre que ces reprรฉsentations permettront aux entomophobes de se rรฉconcilier avec leurs peurs. Ces images trompent sur leur nature, car elles ne sont pas des peintures, mais des photographies oรน les personnages sont faits de chair et de sang. Une reine humaine confrontรฉe ร  d’autres reines, ces clichรฉs vous invitent ร  questionner la frontiรจre entre beautรฉ et laideur, fiction et rรฉalitรฉ.



Sphingidae by Mathilde Oscar

DYSTOPIA

2019 โ€“ Tirage sur papier Fine Art – Edition de 8 exemplaires, tous formats confondus

Alain Bashung by Arnaud Baumann

โ˜… ICONIC PORTRAITS โ˜…

โ˜… ICONIC PORTRAITS โ˜…

ARNAUD BAUMANN

ยซ sa grande rรฉussite, sa signature stylistique, cโ€™est le portrait heureux. ยป

ICONIC PORTRAITS :
Le Whoโ€™s Who dโ€™Arnaud Baumann

Le Whoโ€™s Who est l’annuaire des gens censรฉs peser dans la vie dโ€™un pays. La premiรจre รฉdition anglaise date de 1849, la franรงaise de 1953. Celle dโ€™Arnaud Baumann, plus rรฉcente, plus fraรฎche, plus dรฉboutonnรฉe, a commencรฉ dans les annรฉes 80, lorsque, jeune photographe, il sโ€™est mis ร  cadrer dans son viseur des gens qui comptaient, en particulier pour lui. Par exemple lโ€™escouade libertaire du journal Hara-Kiri, dont il reste un esprit, une ล“uvre perturbatrice et mal รฉlevรฉe, un hรฉritage, une descendance, une tragรฉdie โ€“ la tuerie de Charlie Hebdo en janvier 2015 โ€“ et un livre-bible, Dans le ventre de Hara Kiri (ร‰d. La Martiniรจre, 2015), รฉchographie tumultueuse rรฉalisรฉe par Arnaud Baumann avec son alter ego de longue date, le photographe Xavier Lambours. La diffรฉrence entre le Whoโ€™s Who ordinaire et le sien, cโ€™est que dans le sien ce sont les textes qui sont brefs et secondaires, et les photos qui sont grandes et qui importent.

Si lโ€™une de ses prรฉdilections dโ€™artiste est le portrait, son exercice favori, son originalitรฉ, sa grande rรฉussite, sa signature stylistique, cโ€™est le portrait heureux. Pour une large part, Iconic portraits est une exposition โ€“ et un livre de collection (limitรฉ ร  100 exempl.) โ€“ sur lโ€™espiรจglerie et sur lโ€™ironie, sur lโ€™euphorie et sur la joie, sur lโ€™humour, la plaisanterie, la malice et lโ€™autodรฉrision, qui est ร  la dรฉrision ce que lโ€™autocritique est ร  la critiqueย : un progrรจs. Plus quโ€™un Whoโ€™s Who, cโ€™est une galerie de tableaux-cabrioles, de mimiques ร  lโ€™exagรฉrรฉ, de pasquinades, comme on disait dans Victor Hugo, qui sโ€™รฉtend de la fin du xxแต‰ siรจcle jusquโ€™au dรฉbut du xxiแต‰, en attendant la suite, parce quโ€™un siรจcle, cโ€™est long. Plus encore quโ€™un annuaire, cโ€™est une sorte de Lรฉgende dorรฉe en images, laรฏque, profane, allรฉgrement paรฏenne, si on met de cรดtรฉ lโ€™abbรฉ Pierre, Julien Green et quelques tรชtes รฉmรฉrites. Plus, mรชme, quโ€™une lรฉgende dorรฉe, cโ€™est ร  tous รฉgards un dictionnaire multicolore de biographies รฉcrites au film argentique, du Leica ร  la chambre Polaroรฏd. Les nostalgiques y verront le rรฉpertoire affectueux, drolatique, effervescent, dionysiaque, parfois sulfureux โ€“ mais ce souffre sent bon lโ€™humanitรฉ โ€“, dโ€™une foule de milieux et de pรฉriodes qui font une dรฉmographie des prรฉfรฉrences, une sociologie sรฉlective et, en somme, lโ€™inventaire choisi dโ€™un mรฉmorialiste multipliรฉ dans quinze mondes.

Au bout du compte, on y trouve des dizaines de vieilles connaissances qui ont accompagnรฉ, sur les รฉcrans, sur les scรจnes, dans les journaux, les livres, les galeries dโ€™art et les musรฉes, le roulement de nos รขges successifs, et qui sont un peu comme des parents que nous aurons connus, sinon dans le monde, du moins dans le spectacle du monde, fantasmagorie de substitution oรน nous vivons sans doute davantage que dans la rรฉalitรฉ. Et si quantitรฉ de ces familiers de loin ont disparu, la plupart, au moment de ces portraits, sont les incarnations de cette espรจce de bonheur dโ€™รชtre et de vitalitรฉ de groupe ou de couple qui rayonne de lโ€™image quand le bonheur dโ€™รชtre et la vitalitรฉ des sujets sont redoublรฉs par ceux du portraitiste. Les portraits dโ€™un photographe, en effet, sont aussi le portrait du photographe, et chacun dโ€™eux, quand le sujet, le photographe et le portrait sont ร  la hauteur, fait un tout supรฉrieur ร  la somme des parties.

Lโ€™atmosphรจre, prรฉcisรฉment, est ร  la fรชte, repos de la vie laborieuse. Mais il faut de temps en temps se reposer du repos, moins dans la besogne que dans la gravitรฉ, lโ€™inquiรฉtude, le danger. Cโ€™est ce qui se produit ici, sans que le photographe ne sโ€™รฉcarte beaucoup de ce baroque mesurรฉ ni de ce naturel juvรฉnile quโ€™il fait circuler de la premiรจre de ses images jusquโ€™ร  la derniรจre.

Ainsi Emil Cioran, rencognรฉ dans sa mansarde du Quartier latin, figure de pรขte dรฉfaite, levรฉe vers une lucarne quโ€™il voudrait ouvrir, ou fermer. Chevelure รฉpaisse comme lโ€™angoisse. Mine de vieil enfant maltraitรฉ, accablรฉ, giflรฉ par la mรฉchante lumiรจre rectangulaire dโ€™un Ciel oรน sโ€™est installรฉ sans vergogne le dรฉmiurge persรฉcuteur des gnostiques. Photogรฉnie des inconsolables. Ne cherchez pas de meilleure illustration du mysticisme dรฉรงu, vous nโ€™en trouverez pas.

Ainsi Bashung. Ce doigt de cigogne sur ses lรจvres. Ce doigt de la finesse ร  lโ€™ongle รฉcarlate. Ce doigt qui nโ€™est pas le sien mais qui lui va si bienโ€ฆ Celui de sa part fรฉminine, puisquโ€™il paraรฎt quโ€™il faut faire des parts, comme pour les gรขteauxย ? Dโ€™une reine de cล“urย ? Dโ€™une adoratriceย ? De la pudeurย ? De la dรฉlicatesseย ? De la mรฉlancolieย ? De la mortย ? Louis XIII, roi secret, meurt avec un geste ou dans une pose identiques, mais cโ€™รฉtait son index personnel. Silences des compliquรฉs. Trouvailles des imaginatifs.

Ainsi cet ยซย Autoportrait ร  lโ€™essence Cย ยป, oรน le photographe, en incendiรฉ volontaire, se met en scรจne et paie de sa personne. Le prix aurait pu รชtre exorbitant, mais au fond cโ€™est moins un portrait ร  lโ€™essence que le portrait dโ€™une essence, dโ€™une ontologie, dโ€™une faรงon dโ€™รชtre, voleuse de feu, chaleureuse, allumรฉe, risque-tout, pourtant pas cinglรฉe. Cette flamme qui court cโ€™est Promรฉthรฉe en rรฉduction, dรฉchaรฎnรฉ, non sur son rocher des confins de la terre mais dans le Val dโ€™Oise, au bord de la piscine-extincteur du dessinateur Sinรฉ.

Baumann, ร  propos de son portrait de Philippe Soupault รขgรฉ, surchargรฉ de quatre-vingt-douze ans de souvenirs et comme effarรฉ, lui le surrรฉaliste, dโ€™avoir passรฉ tout une existence dans un rรฉel qui nโ€™est รฉventuellement quโ€™une fumรฉeย : ยซย Se dรฉshabiller รงa peut รชtre aussi montrer ses rides, le temps qui passe. Pouvoir accepter la mort (โ€ฆ) Un portrait est rรฉussi, je crois, quand il atteint cette dimension-lร . La mise ร  nu.ย ยป

La question estย : la mise ร  nu de quoi, exactementย ?

La rรฉponse est dans Jean Paulhanย : ยซย Les gens gagnent ร  รชtre connus. Ils y gagnent en mystรจre.ย ยป Cโ€™est ce quโ€™il y a de bien avec les รชtres humainsย : sโ€™il peut arriver que vous perciez le mystรจre quโ€™ils sont dโ€™abord, vous tomberez de toute faรงon sur lโ€™รฉnigme quโ€™ils sont ensuite. So, whoโ€™s whoย ?

Et quโ€™est-ce que Iconic Portraits, sinon une concentration, un carambolage de rรฉbus rรฉvรฉlateurs, comme toute vรฉritable exposition de portraitsย ? Mais une concentration et un carambolage revigorants, car si jamais aucune exposition ni aucun livre des vivants nโ€™ont รฉtรฉ aussi vivants, jamais aucune exposition ni aucun livre des morts nโ€™ont รฉtรฉ aussi gais, agitรฉs, bigarrรฉs, variables, รฉnergiques, dรฉcalรฉs, fantasques et inventifs.

Michel Wichegrod 2024ย 

ยซ Ce doigt de cigogne sur ses lรจvres. Ce doigt de la finesse ร  lโ€™ongle รฉcarlate. Ce doigt qui nโ€™est pas le sien mais qui lui va si bienโ€ฆ ยป

Michel Wichegrod

โ˜… ICONIC PORTRAITS โ˜…

Tirages originaux signรฉs et numรฉrotรฉs par Arnaud Baumann - Edition de 26 exemplaires tous formats confondus.

last supper gods of suburbia dina goldstein

Gods of Suburbia

Gods of Suburbia

par Dina Goldstein

"Lorsqu'ils sont parmi nous, ils souffrent comme nous."

Quelques mots sur Gods of Suburbia

La supรฉrioritรฉ s'estompe lorsque nous leur permettons de faire l'expรฉrience de la banalitรฉ.

GODS OF SUBURBIA

Cette collection met en regard des personnalitรฉs extraordinaires avec la vie de banlieue. ร€ travers une sรฉrie de photographies saisissantes, Goldstein remet en question les notions de croyance contemporaine, en juxtaposant des dieux et des dรฉesses emblรฉmatiques de diverses cultures ร  la banale rรฉalitรฉ de l’existence en banlieue. Cette collection gratte le vernis de notre culture, rรฉvรฉlant les aspirations, les luttes et les dรฉsirs de la sociรฉtรฉ moderne sur une toile de fond ร  la fois familiรจre et surrรฉaliste.

Dans cette sรฉrie, Goldstein incite les spectateurs ร  s’interroger sur la signification et la pertinence des mythes et des divinitรฉs anciennes dans nos vies actuelles, en soulignant la quรชte contemporaine d’identitรฉ, de pouvoir et de raison d’รชtre dans le cadre des routines ordinaires de la vie de banlieue. Le choc entre le divin et le profane met en lumiรจre la quรชte humaine universelle de sens et le dรฉsir de transcender les limites du quotidien. “Gods of Suburbia” remet en question les idรฉes prรฉconรงues sur la divinitรฉ et incite ร  une rรฉflexion plus approfondie sur les subtilitรฉs de la condition humaine dans le monde moderne.

gods of suburbia dina goldstein satan

GODS OF SUBURBIA

2007-2009 โ€“ Tirages fine art pigmentaire, edition de 40 – tous exemplaires confondu

Making of de la sรฉrie Gods of Suburbia

In The Dollhouse

In The Dollhouse

par Dina Goldstein

"La vie n'รฉtait pas censรฉe รชtre aussi difficile pour Barbie."

Quelques mots sur In The Dollhouse

La fable prรฉsentรฉe nous dรฉmontre que les jeux de dupes ne durent pas...

IN THE DOLLHOUSE

Les rรฉalitรฉs des femmes et les pressions de la sociรฉtรฉ sont cachรฉes dans un monde dominรฉ par des idรฉaux construits de beautรฉ et de fรฉminitรฉ. La collection “In The Dollhouse” de Goldstein dรฉconstruit la faรงade de la perfection domestique en prรฉsentant des scรจnes oรน des poupรฉes emblรฉmatiques, telles que Barbie, sont aux coeur de problรจmes, tels que le vieillissement, l’image corporelle et les attentes de la sociรฉtรฉ. ร€ travers son objectif, Goldstein รฉmet un commentaire critique sur les normes superficielles imposรฉes aux femmes, mettant en lumiรจre les consรฉquences que ces attentes peuvent avoir sur le bien-รชtre mental et รฉmotionnel d’une personne.

La collection remet en question les perceptions conventionnelles de la fรฉminitรฉ et les rรดles que les femmes sont censรฉes jouer, tout en utilisant le symbolisme des poupรฉes, une reprรฉsentation puissante des idรฉaux de la sociรฉtรฉ et du conditionnement culturel. L’imagerie de Goldstein, qui donne ร  rรฉflรฉchir, souligne la nรฉcessitรฉ d’une sociรฉtรฉ plus inclusive et plus tolรฉrante, qui valorise les individus au-delร  de leur apparence extรฉrieure, encourageant une rรฉรฉvaluation des normes sociรฉtales et une รฉvolution vers l’acceptation de la diversitรฉ et de l’authenticitรฉ. “In The Dollhouse” nous rappelle avec force qu’il faut remettre en question les normes de beautรฉ รฉtroites qui limitent les femmes, en nous exhortant ร  cรฉlรฉbrer notre singularitรฉ et ร  rejeter la pression qui nous pousse ร  nous conformer ร  des reprรฉsentations irrรฉalistes.

in the dollhouse dina goldstein breakfast

IN THE DOLLHOUSE

2012 โ€“ Tirages fine art pigmentaire, edition de 40 – tous exemplaires confondu

Making of de la sรฉrie In The Dollhouse

Dina Goldstein fallen princesses belle

Fallen Princesses

Fallen Princesses

par Dina Goldstein

"Princesses des temps modernes dans un pays pas si fรฉerique"

Quelques mots sur Fallen Princesses

Voir la rรฉalitรฉ de la vie des femmes contemporaines et leurs luttes.

FALLEN PRINCESSES

“Fallen Princesses” de la photographe Dina Goldstein est une collection captivante et stimulante qui donne une tournure contemporaine ร  des personnages de contes de fรฉes intemporels. Dina Goldstein amรจne habilement ces princesses dans le monde rรฉel, en les confrontant aux rรฉalitรฉs souvent dures de la vie moderne. La juxtaposition du magique et du banal, oรน les princesses bien-aimรฉes sont aux prises avec des problรจmes tels que la maladie, la dรฉgradation de l’environnement, le divorce et les pressions de la sociรฉtรฉ, remet en question les notions idรฉalisรฉes perpรฉtuรฉes par les contes traditionnels. ร€ travers ses photographies, l’artiste soulรจve des questions importantes sur les attentes de la sociรฉtรฉ, les rรดles des hommes et des femmes et la rรฉsilience des femmes face ร  l’adversitรฉ, invitant les spectateurs ร  reconsidรฉrer les idรฉes reรงues et ร  apprรฉcier la force nรฉcessaire pour naviguer dans les complexitรฉs de la sociรฉtรฉ d’aujourd’hui.

Chaque photographie de “Fallen Princesses” sert de rรฉcit poignant, mettant en lumiรจre les luttes multidimensionnelles auxquelles les femmes sont confrontรฉes au-delร  des histoires enchanteresses. En dรฉconstruisant ces contes de fรฉes et en plaรงant les princesses dans des contextes contemporains, Goldstein offre une reprรฉsentation brute et honnรชte des dรฉfis que les femmes endurent, favorisant une comprรฉhension plus profonde des rรดles complexes qu’elles jouent dans la sociรฉtรฉ. La collection nous incite ร  rรฉflรฉchir ร  l’impact durable de ces personnages emblรฉmatiques et ร  l’importance de reconnaรฎtre et d’aborder les problรจmes du monde rรฉel qui touchent les femmes de tous les horizons.

Dina Goldstein fallen princesses belle

FALLEN PRINCESSES

2008-2010 โ€“ Tirages fine art pigmentaire, edition de 40 โ€“ tous exemplaires confondu

Le Palace

Le Palace

par Arnaud Baumann

ยซ Une pรฉriode dโ€™insouciance, de beautรฉ nรฉe du mรฉlange, des genres comme des ambiances ยป

Quelques mots sur le Palace

"Des oeuvres rรฉalisรฉes lors de soirรฉes mรฉmorables au Palace, qui font dรฉsormais partie du patrimoine photographique et tรฉmoignent dโ€™une rรฉalitรฉ rรฉvolue et inimitable"

LE PALACE

Avril 1978, le Palace ouvre ses portes. A lโ€™image du cรฉlรจbre Studio 54 de New York, cette incontournable boรฎte de nuit parisienne, marque son รฉpoque bien au-delร  de ses murs et reste, encore aujourdโ€™hui, le symbole de la jouissance, de la libertรฉ et de lโ€™insouciance.

Ses soirรฉes, sans compromis, rassemblent, aux cรดtรฉs des stars franรงaises et internationales du monde de la musique, de la mode ou du cinรฉma, des quidam qui viennent faire la fรชte sans tabous et sans limites. Un melting-pot rythmรฉ aux sons du plaisir, de lโ€™ivresse et de la dรฉsinhibition fait de ce lieu lโ€™un des piliers de lโ€™emergence de la culture gay.

Marqueuses dโ€™une รฉpoque et dโ€™une vision insouciante de la vie, lโ€™extravagance et la libertรฉ des fรชtes du Palace ne seront jamais รฉgalรฉes.

 

 

LES OEUVRES D’ARNAUD BAUMANN

Le cรฉlรจbre portraitiste Arnaud Baumann, y fait ses premiรจres armes. Pendant cinq ans, il dรฉambule au milieu des explosions de vie et de plaisir pour nous proposer une vision unique : une photographie documentaire et plasticienne dont les poses longues font virevolter les lasers colorรฉs et nous transportent au cล“ur de la fรชte. Ses images, authentiques et dรฉcomplexรฉes, font jaillir en nous lโ€™envie de renouer avec la lรฉgรจretรฉ de lโ€™รฉpoque, de pouvoir รชtre libre.

Rares sont les photographies du Palace en couleur. Arnaud Baumann les rend d’autant plus vivantes et attirantes par son regard original. Tel un peintre, il utilise son appareil photo comme un pinceau et restitue sur ses images, l’ambiance colorรฉe au laser, des nuits intenses de la cรฉlรจbre boรฎte de nuit parisienne.

Prises sur pellicule Kodachrome il y a prรจs dโ€™un demi-siรจcle, ces images tirรฉes sur papier argentique archival mรฉtallique sont dors et dรฉjร  devenues des Vintages. Entre photographies plasticiennes et documents d’archive, elles sont encore accessibles mais inรฉvitablement destinรฉes ร  prendre de la valeur.

Les photographies dโ€™Arnaud Baumann constitue un authentique tรฉmoignage de lโ€™histoire des arts, de la danse et de la pop-culture au travers de la parenthรจse exaltante offerte par Le Palace.

Joie dรฉbordante

LE PALACE

Avril 1978, le Palace ouvre ses portes. A lโ€™image du cรฉlรจbre Studio 54 de New York, cette incontournable boรฎte de nuit parisienne, marque son รฉpoque bien au-delร  de ses murs et reste, encore aujourdโ€™hui, le symbole de la jouissance, de la libertรฉ et de lโ€™insouciance.

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Monsieur Pipi au naturel

ยซ Il ne reproduit pas la rรฉalitรฉ ; il ne capture pas le rรฉel ; il la pense et il le voit. ยป

Pacรดme Thiellement, essayiste

LE PALACE

1978โ€“1983 โ€“ Tirages argentiques sur papier mรฉtallique, limitรฉs ร  20 exemplaires tous formats confondus

Ils en parlent...

Les annรฉes PALACE

PAR CHRISTIAN CAUJOLLE

…Cโ€™รฉtait lโ€™รฉpoque oรน Claude Nougaro chantait ยซ Surย lโ€™รฉcran noir de mes nuits blanches Moi je me fais duย cinรฉma Sans pognon et sans camรฉra ยป. Rue du Faubourg Montmartre on lโ€™รฉcoutait alorsย moins que Grace Jones que lโ€™on avait vue arriverย depuis les airs pour se poser sur la scรจne du Palace,ย vรชtue et redessinรฉe par Jean-Paul Goude.

Momentย fondateur, fabuleux, comme dโ€™autres, tant dโ€™autres.ย Cโ€™รฉtait entre 1978 et 1983, aux plus ยซ belles heures ยปย de cet ancien thรฉรขtre devenu, par la touche magiqueย de Fabrice Emaer qui nous avait amenรฉs โ€“ avecย Thierry Le Luron, Alice Sapritch ou Yves Mourousiย et beaucoup dโ€™autresย – de son Sept deย la rue Saint Anneย vers cet immenseย espace, une pรฉriodeย dโ€™insouciance,ย de beautรฉ nรฉeย du mรฉlange, desย genres comme desย ambiances.

En fait, personne ne sโ€™y faisait vraiment duย cinรฉma, si ce nโ€™est lors de nuits rรฉinventant la traditionย des bals masquรฉs ou dรฉguisรฉs, mais chacun, avecย des doses dโ€™ego plus ou moins flamboyantes รฉtaitย lui-mรชme. Certainement parce que Jenny Belโ€™Air etย Sylvie Grumbach, ร  la fois en raison de lโ€™humeur duย moment et avec un sens innรฉ โ€“ parfois fortementย injuste โ€“ du dosage pouvaient refuser lโ€™entrรฉe ร  uneย personnalitรฉ en vue qui rageait de voir trois petitsย beurs se glisser souplement vers lโ€™intรฉrieur. Il y avaitย lร  nombre dโ€™anonymes et beaucoup de cรฉlรฉbritรฉs,ย celles de la mode, Kenzo aussi bien quโ€™Yves Saint-Laurent, Karl Lagerfeld, Claude Montana ou Jean-Charles de Castelbajac, qui croisaient Rolandย Barthes bien souvent prรฉsent, Amanda Lear etย nombre dโ€™artistes.

Au sous-sol, au Privilรจge dรฉcorรฉย par Gรฉrard Garouste sur recommandation dโ€™Andrรฉeย Putman, on dรฎnait et on croisait pratiquement tous les soirs les petites stars -mineures- du Palace :ย Christian Louboutin, Eva Ionesco et Vincent Darrรฉ.ย Pour lโ€™avoir fait dรฉcouvrir ร  Robert Mapplethorpe โ€“ย pourtant habituรฉ du Studio 54 ร  New York โ€“ et pourย avoir vu comment la sรฉduction opรฉrait sur un bonย connaisseur des fรชtes qui nous y ramena plus tardย avec Lisa Lyon, je me dis encore aujourdโ€™hui quโ€™il yย avait une inexplicable magie dans ce lieu dont ยซ La vieย en rose ยป rรฉinterprรฉtรฉe par Grace Jones รฉtait devenuย lโ€™hymne.

Mannequins et jet set, graphistes, jeunesย รฉcrivains et journalistes โ€“ ร  commencer par Alainย Pacadis qui en avait fait ยซ son ยป lieu et lui rรฉservaitย une place ร  partย dans sa chroniqueย dans Libรฉration โ€“ ont racontรฉ tout cela, etย bien mieux que je neย saurais le faire. Ils ontย รฉgalement fait la listeย de toutes et tous ceuxย qui ยซ comptaient ยปย dans le Paris dโ€™alors et qui se donnaient rendez-vousย lร . Des photographes, nombreux, ont constituรฉ uneย mรฉmoire de ces annรฉes Palace comme il faut bienย les nommer. Ces annรฉes qui furent dโ€™abord des nuitsย et qui pouvaient nous mener directement, parfois,ย de cet immense navire nocturne jusquโ€™au bureauย pour la confรฉrence de rรฉdaction du matin ont รฉtรฉย amplement photographiรฉes. Mais elles lโ€™ont surtoutย รฉtรฉ โ€“ et parfois trรจs bien โ€“ en noir et blanc. Et il estย vrai que ce nโ€™est pas sans une certaine nostalgie queย nous revoyons aujourdโ€™hui certaines de ces images,ย certains de ces visages alors familiers, maintenantย perdus de vue pour beaucoup, disparus pour tropย dโ€™entre elles et eux…

Extrait de la prรฉface pour le livre FรŠTE AU PALACE ร‰ditions CDP 2022

Regard sur le PALACE depuis 1983

PAR ALAIN PACADIs

Lorsquโ€™en 1978, Fabrice Emaer eut lโ€™idรฉe dโ€™ouvrir la plus grande boite dโ€™Europe, rue du Faubourg Montmartre, nous ne savions pas encore que nos vies allaient ainsi prendre un nouveau tournant.

Les premiรจres annรฉes du Palace virent,dans une dรฉbauche de musique, de fun et de costumes somptueux une sรฉrie de fรชtes baroques qui resteront comme les diamants illuminant la couronne des princes de la nuit.

De la fรชte vรฉnitienne de Karl Lagerfeld au mariage de Paloma Picasso, le Palace devint le lieu de rencontre privilรฉgiรฉ de la jet-society, mais on pouvait aussi y croiser des jeunes issus des banlieue, attirรฉs par tant de clinquants et de paillettes. I.e Palace รฉtait un รฉcrin prestigieux dรฉcorรฉ par Gรฉrard Garouste, le plus grand peintre post-moderne, oรน les modes se succรฉdaient ร  une cadence infernale : Punk et After-Punk, New Romantism, Cold Wave, Nouveau Thermidorien, Novรถ, Post-Moderm, After Junk, etc Les grands couturiers venaient, accompagnรฉs de mannequins portant les plus belles robes de la collection, les Rockโ€™n Roll Stars dรฉambulaient entre deux concerts, les vedettes se regardaient vivre, รฉpiรฉes par des photographes avides de scoop.

 

Pendant des annรฉes, sous les lasers multicolores, les bals costumรฉs se succรฉdรจrent : une marquise moustachue dansait avec un gitan dรฉfoncรฉ au poppers, les culturistes cรดtoyaient les travelos, les BCBG en smoking se mรชlaient aux punks; le Palace รฉtait un extraordinaire melting-pot oรน la nuit, tout, absolument tout, pouvait arriver. Le Palace est arrivรฉ ร  un moment charniรจre : aprรจs les errances babas ou gauchistes, en pleine explosion punk, ร  une pรฉriode oรน une certaine jeunesse redรฉcouvrait le plaisir : le Fun. On y buvait des cocktails raffinรฉs jusquโ€™au petit matin, en dansant sur des rythmes infernaux. Chaque soirรฉe, nous trouvions une nouvelle danse ou une nouvelle mode. Dans ce temple de lโ€™esthรฉtisme, les maquillages des divas coulaient sur les torses velus des gays nouvellement libรฉrรฉs. Un jour par semaine, cโ€™รฉtaient les blacks qui envahissaient la piste de danse de ce Haarlem moderne, un autre, cโ€™รฉtaient les homosexuels, mais toujours la mayonnaise prenait. Aprรจs la mort de Fabrice Emaer, le Palace ne sโ€™est pas arrรชtรฉ, une nouvelle direction continue dโ€™y faire rรฉgner la fรชte, mais je garderais toujours une nostalgie pour cette pรฉriode oรน nous commencions ร  apprendre ร  faire la fรชte.

 

A cette รฉpoque, Arnaud Baumann hantait les nuits du Palace, armรฉ dโ€™un appareil photo.

 

Il prenait des clichรฉs oรน se mรชlaient poรฉsie et esthรฉtisme, il ne sโ€™arrรชtait pas sur les stars, comme les autres, mais prenait le night-club comme un lieu habitรฉ par de nouveaux modes de vie, de nouvelles moeurs. Il fit une sรฉrie de photos avec passion, mais une fois terminรฉ, il nโ€™eut pas envie de montrer son travail. Maintenant, ces clichรฉs ont pris un coup de vieux, en se bonifiant comme du bon vin, il est temps de les ressortir des cartons et de les exposer. Oui, nous avons vรฉcu une รฉpoque merveilleuse.

Hinders

Hinders - Fine Art by Idan Wizen

Sommes-nous vraiment libres ou est-ce une illusion ?

En une vingtaine d'ล“uvres, Idan Wizen parle du libre arbitre, de la dรฉcision individuelle et de la capacitรฉ qu'a chacun ร  briser ses chaรฎnes.

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Sommes-nous vraiment libres ou est-ce une illusion ?

Dans la sociรฉtรฉ d’aujourd’hui, on se retrouve souvent enchaรฎnรฉ par diffรฉrents problรจmes comme les rรฉseaux sociaux, la surconsommation, le travail, les relations malsaines. L’รฉmancipation et l’รฉpanouissement sont donc des รฉlรฉments clรฉs nรฉcessaires ร  la poursuite du bonheur. Pour y parvenir, cependant, nous devons faire face ร  de nombreux obstacles, dรฉfis et entraves. L’objectif de la nouvelle collection Hinders en cours est de montrer ร  quel point l’humanitรฉ est aveuglรฉe par les problรจmes quotidiens sans se rendre compte de ces chaรฎnes.


Avec ces photographies, l’artiste veut non seulement analyser notre sociรฉtรฉ, mais aussi donner une solution. L’intention est d’aborder cette question en prenant le parti de la libรฉration de soi en rรฉsolvant ses peurs intรฉrieures par un travail de rรฉflexion et d’introspection. Dans ses ล“uvres, Idan Wizen tente de dรฉcrire, de maniรจre subtile et onirique, une ode au libre arbitre, ร  la dรฉcision individuelle, et ร  la capacitรฉ de chacun ร  briser ses chaรฎnes.

La libertรฉ individuelle dans la sociรฉtรฉ d'aujourd'hui

Interview avec Idan Wizen

Dรฉtails d'impression

Edition

Les tirages Hinders sont rรฉalisรฉs en รฉdition de 15 toutes tailles comprises. Pour chaque taille, nous avons une quantitรฉ limitรฉe d’impressions.

  • Le plus petit format, 40 x 60 cm (15,75 x 23,62 po), est une รฉdition de 6
  • Le format moyen, 60 x 90 cm (23,62 x 35,4 po), est une รฉdition de 5
  • Le grand format, 80 x 120 cm (31,5 x 47,3 po), est une รฉdition de 3
  • La taille extra-large, 100 x 150 cm (39,3 x 59 po), est unique dans sa taille.

Papier

Idan Wizen choisit le papier d’art Hahnemรผhle Bamboo pour crรฉer un rendu รฉtonnant pour cette collection

290 GSM ยท 90% bamboo fibres ยท 10% cotton ยท natural white

Hahnemรผhle Bamboo est le premier papier jet d’encre FineArt au monde composรฉ ร  90 % de fibres de bambou, pour un aspect naturel et une production de papier respectueuse de l’environnement. Le papier de bambou blanc naturel aux tons chauds ne contient pas d’azurants optiques et se distingue par sa structure feutrรฉe douce et lรฉgรจrement texturรฉe et son toucher sensuel. Le bambou est sans acide ni lignine et rรฉpond aux exigences les plus prรฉcises en termes de rรฉsistance au vieillissement. La combinaison unique de fibres de bambou durables, d’une texture de surface douce et d’une qualitรฉ d’impression impressionnante confรจre ร  l’ล“uvre une expression et une รขme exceptionnelles.

Encadrement

Diffรฉrents cadrages peuvent รชtre dรฉfinis en ligne pour chaque impression.

Cadre en aluminiumย et passe-partoutย – Le choix le plus traditionnel
Contrecollรฉ sur Dibond – Simple, รฉpurรฉ et รฉlรฉgant
Montรฉ dans une caisse amรฉricaine – Le plus populaire dans les galeries d’art

Nous pouvons รฉgalement fabriquer des cadres personnalisรฉs ร  partir de cadres modernes et anciens

Contactez-nousย si vous souhaitez en savoir plus.

Hinders : une collection rรฉcompensรฉe

La sรฉrie Hinders a รฉtรฉ rรฉcompensรฉe par la mention Honorable en 2021 par
INTERNATIONAL PHOTOGRAPHY AWARDS

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La sรฉrie Hinders a รฉtรฉ rรฉcompensรฉe par la mention Honorable en 2021 par
PX3 Prix de la photographie de Paris

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La sรฉrie Hinders a รฉtรฉ rรฉcompensรฉe par la mention Honorable en 2021 par
Tokyo International Foto Awards

Tokyo International Foto Awards

L’oeuvre “Emballons-nous” de la sรฉrie Hinders a รฉtรฉ rรฉcompensรฉe comme finalist en 2021 par
PhotoShootAwards in Duet Category

category finalist

La sรฉrie Hinders a รฉtรฉ rรฉcompensรฉe par la mention Honorable en 2021 par
Budapest International Foto Awards

L’oeuvre “Inside The Web” a รฉtรฉย rรฉcompensรฉeย par laย mentionย Honorable en 2022 par
Chromatic Photography Awards

Expositions

Passรฉes

Du 21 au 30 Mars 2022 ร  La Galerie Etienne de Causans – Paris 6, France

Du 4 au 27 fรฉvrier 2022 ร  laย galerie d’art La Chouette – Strasbourg, France

Les 23 et 24 octobre 2021 au Carrousel du Louvre – Paris, France

Futures

Propriรฉtaire de galerie ? Galeriste ? Intรฉressรฉ ร  faire une exposition sur Hinders ?

ร€ propos d'Idan Wizen

Idan Wizen est un artiste et photographe franco-israรฉlien, fondateur du projet “Un Anonyme Nu Dans Le Salon”. Ses photographies ont รฉtรฉ exposรฉes ร  Paris, New York, Miami, Osakaโ€ฆ

En 2013, il remporte le prix de la meilleure photo de nu masculin aux International PhotoShootAwards. Par la suite, les photographies du projet ont reรงu plus de 60 prix.


Idan est nรฉ le 26 octobre 1984 ร  Tel-Aviv. En 2002, il intรจgre l’Universitรฉ Paris II Panthรฉon-Assas pour entamer des รฉtudes d’รฉconomie et de gestion. Mais trรจs vite, l’artiste rรฉalise que ses domaines de prรฉdilection sont l’art, la photographie et la publicitรฉ.

Il rejoint ensuite Sup de Pub, dont il sort diplรดmรฉ d’un Master en direction artistique en 2007. En 2008, il obtient รฉgalement son Master ร  ยซ University of the arts of London ยป.

De retour ร  Paris, aprรจs une brรจve expรฉrience de responsable marketing dans la cosmรฉtique, Idan Wizen fonde une agence de communication, Studio Idan, travaillant sur le print, le web et la photographie.


En parallรจle de cette activitรฉ, Idan se met ร  photographier, et c’est ainsi que le 18 avril 2009, est fondรฉ le projet “Un Anonyme Nu Dans Le Salon“. Sa gestion de la lumiรจre, le rendu unique des photos, la capacitรฉ de rendre n’importe qui belle, et la confiance des modรจles qu’il parvient ร  gagner trรจs rapidement, font que de plus en plus de personnes viennent poser pour le projet, qui compte plus de 2400 participants jusqu’ร  nos jours.

En plus du projetย “Un Anonyme Nu Dans Le Salon” qu’il continue de dรฉvelopper, Idan Wizen se consacre ร  la photographie publicitaire et de mode et ร  d’autres projets artistiques, comme Hinders, Into The Box, The World We Left Them, etc.

Quelques images d'Idan

Un mot de l'artiste

Je crรฉe des images fortes et saisissantes dans un seul but : je veux que mes images provoquent la rรฉflexion et la discussion. Je veux que le spectateur se remette en question, questionne ses certitudes, apprenne ร  voir les choses autrement. Rรฉflรฉchir ร  deux niveaux : individuel et sociรฉtal. Au niveau individuel, je veux que mon travail emmรจne le spectateur dans un voyage pour rรฉflรฉchir aux contraintes que son esprit s’impose, ร  l’acceptation de son corps, ou pour aider ร  trouver la beautรฉ sous toutes ses formes, tailles et dรฉfauts. Au niveau sociรฉtal, mes rรฉflexions se tournent vers les choix que nous aurons ร  faire demain : notre morale, notre environnement, notre responsabilitรฉ envers les gรฉnรฉrations futures, notre rapport ร  la science, ร  la transformation de l’homo sapiens en une nouvelle espรจce…

Ces images proviennent d’une large inspiration, principalement des รฉcrits, comme ceux de Bernard Werber ou Yuval Noah Harari, mais aussi de grands photographes comme David Lachapelle ou Jill Greenberg. Sans oublier, bien sรปr, ma culture pop, allant de Marvel ร  Tolkien en passant par la musique Rock et Metal des annรฉes 70 et 80.


Conjuguer des idรฉes fortes avec l’esthรฉtique pertinente d’une image me semble plus facile que d’รฉcrire une piรจce politique ou philosophique. L’art nous permet d’envoyer un message plus subtil, un message qui sera interprรฉtรฉ diffรฉremment selon le spectateur. En utilisant dans mon art, la subtilitรฉ et la multi-interprรฉtation du message, je souhaite mettre en perspective les idรฉes des spectateurs et leur vision des choses et ainsi, comprendre la mienne. Je veux caresser l’inconscient et devenir ainsi la graine qui germera au fil du temps permettant l’รฉvolution des idรฉes.

La plupart des artistes ont des opinions trรจs radicales sur leur sujet. J’ai tendance ร  croire que la plupart de nos dรฉfis et problรจmes quotidiens sont compliquรฉs et impliquent une solution complexe et subtile. J’aimerais penser aux faces de la piรจce. N’est-ce pas drรดle pour un artiste 2D ? Pour l’instant, c’est dans la photographie que j’ai trouvรฉ le moyen le plus confortable de m’exprimer. Mais je commence ร  penser ร  la sculpture et ร  la vidรฉo pour exprimer plus facilement le permanent, la rage et l’espoir qui cohabitent en moi.


“Ma rage vient de la contemplation d’un monde qui semble tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre !”


Ma rage vient de la contemplation d’un monde qui semble tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre ! Je me sens toujours repoussรฉ et en colรจre contre beaucoup de choses. Je ressens de la colรจre envers l’รฉtat du monde. Je me sens abattu par la stupiditรฉ, la violence et l’hypocrisie des gens. Je suis abasourdi par la peur du progrรจs et de la science. Et je crois aussi sincรจrement que notre monde est meilleur maintenant qu’il ne l’a jamais รฉtรฉ. Je suis รฉmerveillรฉ par certains beaux esprits, par la crรฉativitรฉ et l’intelligence de l’humanitรฉ. C’est donc dans l’humanitรฉ que je place mon espoir et mes attentes pour demain !

Hinders - Fine Art by Idan Wizen

Un Anonyme Nu Dans Le Salon

Un Anonyme Nu Dans Le Salon

Mettre le monde ร  nu pour le regarder autrement

Un projet artistique unique qui reprรฉsente l'humanitรฉ telle qu'elle est, dans son รฉtat le plus naturel, sa nuditรฉ et sa diversitรฉ.

Quelques mots sur ce projet artistique

" En plus d'une dรฉcennie, Idan Wizen a reรงu plus de 3000 personnes qui se sont dรฉshabillรฉes pour ce projet artistique"

“Un Anonyme Nu Dans Le Salon” est un projet artistique unique qui vise ร  constituer la plus grande sรฉrie photographique jamais rรฉalisรฉe reprรฉsentant l’humanitรฉ telle qu’elle est, dans son รฉtat le plus naturel, sa nuditรฉ et sa diversitรฉ.

Dรฉveloppรฉ par le photographe Idan Wizen, ce concept d’art photographique vise ร  rรฉunir des milliers de modรจles, volontaires de tous รขges et de toutes catรฉgories sociales pour constituer une immense galerie de portraits d’hommes et de femmes d’aujourd’hui qui ont acceptรฉ de se montrer tels qu’ils sont, nu.

Ces photographies, dans leur multitude et l’originalitรฉ de chacune d’entre elles, leur dynamisme et leur naturel, tรฉmoignent de la beautรฉ humaine universelle, bien au-delร  des critรจres socio-culturels et esthรฉtiques restrictifs de notre รฉpoque.

Celui qui pose dans son plus simple appareil participe par sa propre personnalitรฉ, ses diffรฉrences et ses particularitรฉs ร  l’universalitรฉ de l’humanitรฉ.

Idan Wizen a choisi d’exacerber la vรฉritable authenticitรฉ de chacun de ses modรจles, brisant leurs possibles masques, exposant ร  travers chacun d’eux, la beautรฉ simple et nue de la nature humaine.

Il dรฉfie รฉgalement les critรจres habituels de la photographie de nu avec ses clichรฉs chocs, ร  fort parti pris artistique, oรน la provocation spontanรฉe d’un modรจle peut interagir avec l’expression joyeuse et naรฏve d’un autre ou la modeste rรฉvรฉlation d’un troisiรจme.

Par l’uniformisation des critรจres de beautรฉ de notre sociรฉtรฉ ainsi que ses modes d’expression, “Un Anonyme Nu Dans Le Salon” oppose la multitude, la variรฉtรฉ, la force de caractรจre, le mouvement, le surprenant et le naturel ร  l’รฉtat brut de l’humanitรฉ.

Chaque photo est unique tout comme son modรจle et jamais retouchรฉe. Cela nous interpelle inรฉvitablement et crรฉe en nous un curieux sentiment de proximitรฉ, d’appartenance. Parce que ces modรจles, c’est nous tous.

ร‰mu ou bouleversรฉ par la fraรฎcheur d’un sourire, la rondeur d’une courbe, un regard enjouรฉ, un cri de dรฉfi ou la fragilitรฉ d’une silhouette, nous aimerions garder avec nous une de ces photos, l’image d’un รชtre parmi les multitude du genre humain, un nu dans le salon !

F051 - Collection Perseverance by Idan Wizen

“Un Anonyme Nu Dans Le Salon” est un projet artistique unique qui vise ร  constituer la plus grande sรฉrie photographique jamais rรฉalisรฉe reprรฉsentant l’humanitรฉ telle qu’elle est, dans son รฉtat le plus naturel, sa nuditรฉ et sa diversitรฉ.

Dรฉveloppรฉ par le photographe Idan Wizen, ce concept d’art photographique vise ร  rรฉunir des milliers de modรจles, volontaires de tous รขges et de toutes catรฉgories sociales pour constituer une immense galerie de portraits d’hommes et de femmes d’aujourd’hui qui ont acceptรฉ de se montrer tels qu’ils sont, nu.

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F053 - Collection Perseverance by Idan Wizen

CE QU'IL FAUT RETENIR DE CE PROJET D'ART

Plus de 3000 personnes

ont participรฉ ร  ce projet en rรฉalisant plus de 3000 ล“uvres. Vous ne trouverez jamais deux fois la mรชme personne.

Zรฉro casting

Tout le monde peut participer car chaque รชtre humain est unique et peut รชtre une ล“uvre d’art.

Sรฉries diffรฉrentes

Diffรฉrentes collections ont lieu, mais le sens est le mรชme reprรฉsentant l’humanitรฉ telle qu’elle est, dans son รฉtat le plus naturel, sa nuditรฉ et sa diversitรฉ.

Unicitรฉ

De chaque personne, nous ne gardons qu’une seule photographie qui elle-mรชme sera gรฉnรฉralement unique sur chaque taille dans une รฉdition de 4 photographies. La nuditรฉ rรฉvรฉlรฉe est rare.

Oeuvres originales

Chaque tirage est signรฉ et numรฉrotรฉ par l’artiste et fondateur du projet Idan Wizen.

Collectionner et soutenir

En rassemblant diffรฉrentes ล“uvres d’art pour crรฉer une mosaรฏque pour montrer l’unicitรฉ et la diversitรฉ de l’humanitรฉ, vous n’achetez pas seulement de l’art, mais vous soutenez une vision de l’humanitรฉ, une dรฉclaration.

ENVIE DE FAIRE PARTIE EGALEMENT DU PROJET ?

Celui qui pose dans son plus simple appareil participe par sa propre personnalitรฉ, ses diffรฉrences et ses particularitรฉs ร  l'universalitรฉ de l'humanitรฉ.

Tout le monde peut รชtre une ล“uvre d'art

Le projet appelรฉ “Un Anonyme Nu dans le Salon” change complรจtement la vision du corps nu dans la sociรฉtรฉ. Les modรจles sont des gens ordinaires et il n’y a pas de casting. Surdimensionnรฉ ou la peau sur les os, nain ou gรฉant, de 18 ร  99 ans, tout le monde est le bienvenu. Pour la plupart d’entre eux, le but est d’apprendre ร  s’aimer et ร  corriger la vision perturbรฉe et inexacte d’eux-mรชmes.

L’idรฉe principale du projet est de rendre hommage ร  l’unicitรฉ et ร  la diversitรฉ de la race humaine avec ses photographies brutes et inรฉdites. Alors que les industries de la mode et de la publicitรฉ commรฉmorent et glorifient les corps parfaits apolliniens et aphroditiens, l’artiste s’รฉcarte de ces diktats et a le courage de reprรฉsenter quelque chose de diffรฉrent : un corps vivant normal sans aucun embellissement ni retouche beautรฉ. En montrant ses modรจles sans apparat, et sans รฉrotisme, l’artiste combat d’une pierre le puritanisme grandissant et l’omniprรฉsence de la pornographie dans notre sociรฉtรฉ, extrayant par la mรชme occasion le modรจle de toute origine socio-culturelle.

Les diffรฉrentes collections d'Un Anonyme Nu Dans Le Salon

Le concept reste le mรชme, mais les ล“uvres changent !

The Boomer Collection

Singularity

Sanitized

Liberty

Purity

Artificial Nature

Backstage

Pandemonium

White Light District

Lost Room

Nรฉvrose

Obstination

Arles

Persรฉvรฉrance

Genรจse

Chaque photo est unique tout comme son modรจle et jamais retouchรฉe. Cela nous interpelle inรฉvitablement et crรฉe en nous un curieux sentiment de proximitรฉ, d'appartenance. Parce que ces modรจles, c'est nous tous.

ENVIE DE FAIRE PARTIE EGALEMENT DU PROJET ?