DETAILS DE L'OEUVRE
Xenu par Dina Goldstein - Collection Gods Of Suburbia
Vue en situation
Format actuellement montré : Plop
Tirages encore disponibles
20 exemplaires en S - 10 exemplaires en M et L
1500 € EPUISE
4000 € EPUISE
5500 € EPUISE
Choisissez votre format et vos finitions
Tirage d'art original. Numerote et signe
A partir de
1500 €
Attention, le prix de cette œuvre d'art est progressif.
Cela signifie qu'à chaque fois qu'un des exemplaires est vendu, le prix des tirages restants augmente.
Édition de cette œuvre
20 exemplaires en S - 10 exemplaires en M et L
Type de tirage
Tirage Fine Art sur papier satiné
Signature
Sur le verso.
Certificat d'authenticité
Oui, inclus par la galerie.
Année de création
2014
Artiste
Dina Goldstein
Collection
Gods Of Suburbia
Gods Of Suburbia
Cette collection met en regard des personnalités extraordinaires avec la vie de banlieue. À travers une série de photographies saisissantes, Goldstein remet en question les notions de croyance contemporaine, en juxtaposant des dieux et des déesses emblématiques de diverses cultures à la banale réalité de l’existence en banlieue. Cette collection gratte le vernis de notre culture, révélant les aspirations, les luttes et les désirs de la société moderne sur une toile de fond à la fois familière et surréaliste.
Dans cette série, Goldstein incite les spectateurs à s’interroger sur la signification et la pertinence des mythes et des divinités anciennes dans nos vies actuelles, en soulignant la quête contemporaine d’identité, de pouvoir et de raison d’être dans le cadre des routines ordinaires de la vie de banlieue. Le choc entre le divin et le profane met en lumière la quête humaine universelle de sens et le désir de transcender les limites du quotidien. “Gods of Suburbia” remet en question les idées préconçues sur la divinité et incite à une réflexion plus approfondie sur les subtilités de la condition humaine dans le monde moderne.
Dina Goldstein
L'odyssée créative de Dina Goldstein se déploie sur trois décennies, passant du photojournalisme à une exploration audacieuse de la photographie narrative. Son œuvre se présente comme une critique complexe des normes sociétales, entrelaçant des symboles culturels emblématiques et des motifs visuels partagés avec des histoires ancrées dans l'essence de la condition humaine. L'art de Dina, enraciné dans les principes du surréalisme, dévoile les complexités de l'existence moderne, questionnant les récits culturels dominants et les idéologies enracinées qui façonnent nos perceptions.
Initiée en 2007, l'entreprise artistique de Goldstein, inspirée par ses réflexions personnelles et une perspective scrutatrice sur les notions conventionnelles du "happily ever after" propagées par les narratifs Disney et largement acceptées dans la culture occidentale, plonge dans les vies réimaginées des princesses de contes de fées à travers sa série "Fallen Princesses" (2007-2009). En tant que féministe et mère d'une fille, elle critique les représentations traditionnelles de la féminité et de l'enfance dans les contes de Disney. Ses portraits de princesses aux prises avec des problèmes contemporains tels que la maladie, l'addiction, les crises environnementales et la guerre ont largement résonné, aboutissant à sa réception du prestigieux Prix Virginia en 2014, une distinction internationale pour les photographes femmes, et à la présentation de son travail dans des expositions à travers Paris, Québec et les États-Unis.
Son entreprise suivante, "In The Dollhouse" (2012), révèle une narration située dans une maison de poupée à échelle réelle méticuleusement conçue où des versions humaines de Barbie et Ken naviguent à travers les vicissitudes de la vie. Cette série éclaire l'absurdité de la poursuite de normes de beauté et de perfection inatteignables, et la dynamique complexe entre apparence, autorité et contentement. Elle a acquis une reconnaissance internationale, figurant dans le catalogue Frida Kahlo et Diego Rivera du Musee D’Orsay et devenant une partie de la collection FotoMuseo en Colombie.
Avec "Gods Of Suburbia" (2014), Goldstein s'aventure dans le domaine de l'iconographie religieuse, représentant des divinités de diverses foi aux prises avec les épreuves de la société contemporaine. Cette œuvre propose une vue provocatrice sur l'adaptation d'entités spirituelles ancestrales aux réalités façonnées par la technologie, la science et les valeurs laïques, incitant le public à réfléchir sur la signification durable des morales traditionnelles et des croyances dans le monde d'aujourd'hui. La collection a joui d'une reconnaissance mondiale, notamment "The Last Supper", qui a attiré une attention significative en Italie.